Der Beginn der Griechischstudien im Wiener Humanismus an der Wende vom 15. zum 16. Jahrhundert

Pages 103–110
Keywords Greek Philology – Old Greek – Austrian Humanism
Citation GASTGEBER, Christian . Der Beginn der Griechischstudien im Wiener Humanismus an der Wende vom 15. zum 16. Jahrhundert. Acta Musei Nationalis Pragae – Historia litterarum. Prague: National Museum, 2012, 57(3), 103–110. ISSN 0036-5351. Also available from: https://publikace.nm.cz/en/periodicals/amnphl/57-3/der-beginn-der-griechischstudien-im-wiener-humanismus-an-der-wende-vom-15-zum-16-jahrhundert
Acta Musei Nationalis Pragae – Historia litterarum | 2012/57/3

L’idéal d’une double langue, latine et grecque, provenant de l’humanisme italien, a été introduit outre-Alpes par les étudiants et les érudits. Vienne, contrairement à Bude et ses érudits italiens, n’était pas en mesure d’inaugurer des études grecques avant l’arrivée de Conrad Celtis, promoteur des études classiques. La question n’était pas seulement celle de la pénurie de maîtres bien exercés dans la langue grecque, mais du manque de textes grecs tant manuscrits qu’incunables. À l’université de Vienne surgit un débat d’idées pour savoir qui des Italiens ou des Allemands devaient prendre en charge les études humanistes. La préférence fut donnée aux Italiens qui furent les premiers à fonder les études grecques sur un enseignement effectif de la langue, tandis que le groupe inclinant du côté germanique obtint la désignation de Conrad Celtis qui put mettre en ouvre à Vienne son programme humaniste bilingue.

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